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Libéria

Pays d'Afrique de l'Ouest
Une guerre civile déchire le Libéria de 1989 à 2003, c'est à dire pendant quatorze années, soit deux fois plus que la 2e guerre mondiale. Cette guerre a fait plus de 200 000 morts.
Les Nations Unies ont récupuré 19 000 armes. (MINUL)
En août 2003, Charles Taylor abandonne le pouvoir et part en exil au Nigéria. Un accord de paix est signé à Accra entre les rebelles et le gouvernement.

En 2004, le taux de chômage était de 80 %.
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#Posté le dimanche 28 septembre 2008 17:11

Stephan Zweig



"Le pouvoir est comme la tête de la méduse : celui qui en a vu la figure ne peut plus en détourner le regard, reste fasciné et charmé. Celui qui a goûté l'ivresse de la domination et du commandement ne peut plus s'en passer. Qu'on cherche dans l'histoire universelle des exemples de renoncement volontaire : en dehors de Sylla et de Charles Quint*, on en trouve à peine dix qui, le coeur rassasié et l'esprit apaisé, aient pu renoncer à la volupté presque sacrilège de diriger les destins de millions d'hommes."


Fouché

Stephan Zweig

Nouvelliste et essayiste autrichien (1881-1942) Auteur du joueur d'échecs


* Sylla fut général, homme politique puis dictateur romain et abdiqua brusquement.
Charles Quint fut empereur du St Empire romain germanique au XVIe siècle avant de se retirer dans un monastère près de Madrid.
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#Posté le mercredi 21 mars 2007 20:48

Modifié le jeudi 29 mars 2007 13:13

l'Histoire du Liban, intimement liée à celle de la France

1) La création du Liban

En 1915, l'Empire Ottoman entre dans la Première Guerre Mondiale aux côtés des Empires austro-hongrois et allemand. En 1916, les accords secrets de Sykes-Picot prévoient le partage du Proche-Orient entre la Grande-Bretagne et la France. À la fin du conflit, la Société des Nations est créée et place la région de Syrie sous mandat français, l'Irak sous mandat britannique et la Palestine sous mandat international, administrée par la Grande-Bretagne.

LaFrance obtient donc un mandat sur les régions syriennes et libanaises. Un mouvement nationaliste, partisan d'une Grande Syrie, s'oppose aux chrétiens maronites, partisans d'un Etat libanais indépendant.

Les Français, plus proches des chrétiens maronites, proclament en 1920 l'Etat du Grand Liban et fixent de nouvelles frontières qui intègrent de nombreuses régions syriennes. Dans ce nouvel Etat cohabitent plusieurs communautés, parmi lesquelles les chrétiens maronites, les musulmans chiites et sunnites.

En 1943, la France accorde la pleine indépendance au pays et la République du Liban est proclamée.

Un système original qui tente d'établir un équilibre politique entre les différentes communautés est alors crée: c'est le pacte du 22 novembre 1943. Les différents organes institutionnels sont répartis entre les communautés: la présidence de la République est confiée aux maronites, le poste de Premier Ministre aux sunnites et la présidence du Parlement aux chiites. Cette répartition assure la stabilité des premières années et le pays s'engage dans un dynamisme de prospérité économique.

Mais dans les années 1950, l'orientation pro-occidentale (et surtout pro-américaine) de la politique extérieure provoque les contestations des populations arabes. Des affrontements intercommunautaires éclatent en 1958 et entraînent une intervention américaine.

2) Une fragile stabilité renforcée par le problème palestinien.

Les débuts des années 1960 sont marqués par la montée des désaccords.
Tandis que les positions se radicalisent et que les affrontements se succèdent, les conflits internes sont exacerbés par les problèmes régionaux, dont le plus menaçant est le conflit israélo-palestinien. Le Liban a accueilli plus de 140 000 palestiniens après la formation d'Israël en 1948 : la population ainsi immigrée constitue une main d'oeuvre bon marché et rencontre la tolérance libanaise.

Après la guerre des Six Jours (juin 1967), une nouvelle vague de palestiniens en exode arrive, composée de résistants. L'Organisation de Libération de la Palestine s'installe au Liban (OLP) et les camps de réfugiés frontaliers deviennent des bases d'attaques palestiniennes contre Israël que le Liban ne peut pas contrôler. En 1969, ces camps de résistants fedayins obtiennent l'extraterritorialité. Ainsi, il se forme presque un état dans l'Etat. Les affrontements israélo-palestiniens pénètrent le Liban dans les années 1970 et exacerbent les tensions internes libanaises.

En 1975, l'équilibre politique libanais s'effondre avec le début de la guerre civile.



3) La Guerre du Liban

C'est un affrontement entre Chrétiens et Musulmans : Les Phalanges chrétiennes, mouvement maronite contre les palestiniens.
Dès avril 1975, à Beyrouth, embuscades, guérilla urbaine entre kalachnikov et M-16, tirs de snipers sont bientôt suivis par l'entrée en lice de canons et de lance-roquettes.
La force de l'Onu pour le Liban (FINUL) ne parvient pas à stabiliser la situation.
Les dirigeants maronites appellent alors la Syrie au secours. Le président Hafez el-Assad ordonne alors l'entrée de troupes et de blindés au Liban. Mais la présence armée de la Syrie envenime les luttes internes. Les efforts pour rétablir l'entente nationale ne progressent pas, et de violents affrontements opposent l'armée syrienne aux milices chrétiennes en 1978.
En 1978, face à l'augmentation des incursions palestiniennes en Israël organisées par l'OLP depuis le Liban, Israël lance une offensive au Sud Liban (opération Litani) pour repousser les milices palestiniennes au nord du pays. Après plusieurs semaines en territoire Libanais, les troupes Israéliennes se retirent.
En 1982, tandis que les attaques palestiennes persistent, l'armée israélienne lance l'opération « Paix en Galilée » : Beyrouth est assiégée et l'OLP chassée du Liban ; cette opération militaire achève de désagréger le pays.
La même année, le Hezbollah est créé: l'organisation monte en puissance et s'oppose rapidement à l'armée israélienne. Mouvement politique chiite libanais, il est accusé d'être à l'origine de nombreux attentats et enlèvements d'occidentaux. En 1983, une force internationale d'interposition est mise en place (composée d'américains, de français, d'italiens et d'anglais) et doit faire face à de nombreuses hostilités.
La communauté internationale laisse alors le champ libre à la Syrie. L'armée syrienne intervient de nouveau contre l'OLP et prend le contrôle de 60% du territoire.Les forces syriennes aboutissent peu à peu à rétablir un ordre et rendent alors leur présence indispensable, ce qui leur permet de s'élever contre l'influence occidentale.
Mais le calme n'est pas pour autant retrouvé, les violences : attentats et enlèvements d'occidentaux persistent. De plus, de nombreuses milices libanaises tentent de lutter contre le contrôle syrien. Les Syriens s'imposent en 1989 en bombardant massivement Beyrouth : après six mois de combats, un cessez-le-feu est enfin conclu le 22 septembre 1989. Les accords de Taëf sont signés. Ces accords, présentés comme une tentative de restauration de la paix, consacrent la domination syrienne sur le pays. Ils sont renforcés en 1991 par un traité d'amitié, de coopération et de fraternité syro-libanais qui légitime la présence militaire syrienne au Liban. Dès lors, la Syrie a la mainmise sur les politique extérieure, économique et culturelle du Liban.


4) La reconstruction d'un pays ébranlé

En 1992, lors des premières élections législatives depuis 1972, l'homme d'affaire sunnite Rafic Hariri est élu Premier ministre. Son gouvernement se donne une tâche énorme: l'élaboration d'un plan de redressement économique et de restauration de la situation sociale et des infrastructures.
Mais encore une fois, les luttes intercommunautaires ne disparaissent pas totalement, radicalisées par les différences sociales. Le conflit israélo-palestinien ne finit pas non plus du miner le redressement pénible du pays: les accrochages entre le Hezbollah et les Israéliens se succèdent et Israël lance en 1996 une vaste opération de bombardement sur le sud du Liban. La communauté internationale, condamne Israël et l'ONU négocie un cessez-le-feu. C'est en 2000 que les troupes israéliennes finissent d'évacuer les Sud du pays.

Au début des années 2000, les contestations contre le contrôle syrien mobilisent de plus en plus la population libanaise. Après quatre années de montée d'opposition contre la présence syrienne, le conseil de l'ONU prononce en 2004 la résolution 1559 sur le retrait des forces syriennes du Liban et la fin des activités militaires du Hezbollah (l'organisation chiite en refuse l'application), qui est devenu un des partis politiques les plus puissant du pays.



Le Liban depuis la mort de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri.


14 février 2005 : Attentat à Beyrouth tuant l'ancien Premier ministre et leader sunnite libanais, Rafic Hariri, blessant le député Bassel Fleyhane (qui décédera le 18 avril) ainsi que 21 autres personnes.
Dés le lendemain, le Conseil de sécurité de l'Onu demande à son secrétaire général, Kofi Annan, un rapport sur cet assassinat et exige le retrait immédiat des troupes syriennes du Liban.


1) La révolution du cèdre


L'enterrement de l'ex-premier ministre, marque le point de départ de la « révolution du cèdre ». Cette « Intifada pacifique » est un grand mouvement de protestation contre la présence syrienne. Celle-ci demande que les Syriens rapatrient les 14 000 soldats et les milliers d'agents des services de renseignements qu'ils ont mis en place au Liban. Ces manifestations s'ajoutant à la pression internationale, le gouvernement prosyrien d'Omar Karamé démissionne le 28 février.


Le 14 mars, un mois après la mort de Rafic Hariri, les protestations contre la Syrie atteignent leur paroxysme : la foule réclame la démission du président libanais Emile Lahoud et de ses chefs de sécurité liés au régime syrien. Pendant ce temps, des leaders de l'opposition tels que Gebran Tuéni et Samir Kassir parrainent le « Printemps de Beyrouth », c'est-à-dire ce mouvement contre Damas.


Le 26 avril 2005, la Syrie se retire du pays libanais mettant fin à 30 ans d'occupation. Le slogan des rues « Liberté, souveraineté, indépendance » a mené à la victoire. Quant à Omar Karamé, appelé par Lahoud à se succéder comme chef de gouvernement, il laisse la place à Najib Kirami, député prosyrien modéré.


2) Les élections législatives libanaises et les premiers résultats de l'enquête

La coalition anti-syrienne (ex-opposition) menée par Saad Hariri et Walid Joumblatt remporte la majorité avec 72 des 128 sièges.


Alors que le début de l'enquête commence, le journaliste et historien Samir Kassir est tué par un attentat à la voiture piégée, le 2 juin, ainsi que l'ex-chef du Parti communiste libanais, Georges Haoui, proche de l'opposition antisyrienne, le 21 juin.

Le 19 juillet, le gouvernement, dont la majorité est antisyrienne, se forme enfin et le Hezbollah prosyrien l'intègre pour la première fois.

Le 20 octobre, Detlev Mehlis remet son rapport d'enquête à l'Onu, dans lequel il explique qu'un « faisceau de preuves conduit à l'implication tant du Liban que de la Syrie dans l'assassinat de l'ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri ».


Les attentats se poursuivent, le 12 décembre périt Gebran Tuéni, député antisyrien et directeur du quotidien « An-Nahar ».

Les résultats de l'enquête, eux, se précisent : un nouveau rapport indique que les autorités syriennes ont détruit des documents concernant le Liban et le rapport Mehlis confirme l'implication de la Syrie dans l'attentat du 14 février. Les ministres chiites boycottent le gouvernement. Le 15 décembre, l'Onu vote la résolution 1644 prolongeant de 6 mois le mandat de la commission d'enquête.

Janvier 2006 : le vice-président syrien, Abdel Halim Khaddam, accuse son président Bachar al Assad, d'avoir commandité l'attentat contre l'ancien Premier ministre.

Le 2 février, les ministres chiites réintègrent le gouvernement de Fouad Siniora.

Dés le mois de mars, la Syrie débute une coopération avec l'Onu : le 15 mars, Bachar Al-Assad et son nouveau vice-président Farouk Al-Chara acceptent, pour la première fois, de recevoir la commission d'enquête des Nations unies sur l'assassinat de Rafic Hariri.


3) Eté 2006 : affrontements entre le Hezbollah et Israël


L'été 2006 a été fortement perturbé par la guerre dans le sud du Liban, menée par Israël dés le 2 juillet, suite à l'enlèvement de deux soldats israéliens par le Hezbollah. Après 34 jours de combat, une force de maintien de paix de l'Onu a commencé à se déployer dans le sud du pays. La Syrie a également joué un rôle dans son conflit, au même titre que l'Iran car ces deux gouvernements soutiennent le Parti de Dieu, tant politiquement que logistiquement.

4) Automne / Hiver 2006 : montée des tensions entre prosyrien set antisyriens

Le 13 novembre, Beyrouth connaît une nouvelle crise politique. Le gouvernement libanais approuve la création d'un tribunal spécial pour juger les responsables de l'attentat qui a coûté la vie à l'ancien Premier ministre, à l'initiative de l'Onu. Mais les ministres du Hezbollah et du mouvement Amal désapprouvent cette démarche. Le jour même, 6 ministres (5 chiites et un chrétien prosyrien) quittent le cabinet libanais, ouvrant alors une crise politique.

Depuis, il n'y a plus qu'une majorité antisyrienne au gouvernement, c'est-à-dire une coalition de sunnites, druzes et chrétiens. Ceci va à l'encontre du Pacte national, selon le camp prosyrien, qui établit une coexistence entre les différentes communautés.

Le 21 novembre, l'assassinat du ministre libanais de l'industrie, chrétien, Pierre Gemayel, ne fait qu'aggraver la situation politique.

Le 1er décembre, le chef du Hezbollah chiite, Hassan Nasrallah et Michel Aoun, le chef de l'opposition chrétienne, ont appelé la population à descendre dans la rue afin de renverser le président Emile Lahoud, dans le but d'obtenir un gouvernement d'union nationale, premier pas vers des élections anticipées. Le gouvernement libanais a, quant à lui, tout fait pour ne pas céder au « putsch fomenté par la Syrie ».


Le Liban semble donc au bord de la guerre civile. Hier, le secrétaire général de la Ligue Arabe (LA), a néanmoins affirmé, lors d'une conférence à Beyrouth, que la médiation dans la crise libanaise progressait concernant la question « prioritaire » du tribunal « à caractère international » et celle de la formation d'un gouvernement d'union nationale. Selon ses dires, les deux parties se sont mises d'accord pour confier à une commission de 6 membres (4 juges et 2 représentants des deux camps) le soin « d'examiner les dispositions » du règlement intérieur de cette juridiction et de l'accord entre le Liban et l'Onu.


Quant au gouvernement d'union nationale, la majorité et l'opposition ont convenu d'une nouvelle composition : 19 représentants de la majorité, 10 de l'opposition et un trentième neutre. Par conséquent, la majorité parlementaire ne pourra adopter des décisions si la minorité ne les approuve pas, puisque la première ne disposera pas automatiquement des deux tiers des voix requises. L'opposition, elle, ne pourra plus user de la minorité de blocage (un tiers plus un) qu'elle demandait, également appelée « minorité de garantie » ou « de participation ».


Cette opposition continue son mouvement protestataire : elle a récemment installé de grandes tentes sur les deux places principales de la capitale libanaise pour réunir tous ceux qui demandent la démission du gouvernement actuel.
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#Posté le mercredi 20 décembre 2006 06:26

Modifié le samedi 07 juillet 2007 01:58

St Ex

"Être homme, c'est précisément être responsable. C'est connaître la honte face à une misère qui ne semblait pas dépendre de soi. C'est être fier d'une victoire que les camarades ont remportée. C'est sentir, en posant sa pierre, que l'on contribue à bâtir le monde."

"On ne voit bien qu'avec le coeur, l'essentiel est invisible pour les yeux."


Le Petit Prince


"L'homme se découvre quand il se mesure à l'obstacle."

Terre des hommes

Antoine de Saint-Exupery(1900-1944)

Aventurier modèle, Pionnier de l'aviation française, son expérience de pilote aéro-postal l'inspira dans Vol de nuit ou Courrier Sud) Il est aussi un ecrivain boulversant (Le Petit-Prince, Terre des hommes)
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#Posté le mardi 12 septembre 2006 03:29

Modifié le samedi 07 juillet 2007 02:00

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